Nous aterrissons à Panama City en fin d'après midi. Pas question de prendre un taxi pour aller en ville, c'est trop cher. Pourquoi les taxis d'aéroport c'est toujours une arnaque? Nous quittons l'aéroport à pied. Il fait chaud. Nos pulls sont rapidement rangés dans les sacs. Les bus de ville ne sont bien évidement pas indiqué à l'aéroport car le prix est 60 fois moins cher qu'un taxi. Après avoir mis un peu de temps à comprendre le système de paiement par carte rechargeable dans n'importe quel supermarché, nous arrivons à monter dans un bus flambant neuf, climatisé, qui nous amène au centre. Les bus locaux de Panama, Los Diablos Rojos (les diables rouges) sont malheureusement en train de disparaitre en ville. Ce sont des anciens bus d'écoles americains (les school bus jaunes qu'on voit dans les films) magnifiquement repeint. La première chose qui nous saute aux yeux dans les transports, en comparaison avec l'Amérique du sud, c'est la population majoritairement d'origine caraïbéenne, ce qui est logique puisque la mer des caraïbes ne se trouve qu'à 80 kilomètres de la côte du Pacifique.
Nous trouvons tardivement un hotel dans le quartier vieux de Panama. Celui ci vient d'ouvrir il y'a 10 jours. Du coup le personnel est très sympa et c'est ultra propre. Le vieux Panama c'est un énorme chantier que nous decouvrons le lendemain matin. C'etait un grand squat d'immeubles abandonnés durant de nombreuses années. Tout est dans un piteux état. Il est impressionant de voir le travail réalisé pour remettre ce quartier d'aplomb. Très visiblement, dans quelques années se sera le quartier chic de la ville, comme ça l'a était d'antan. Pour l'instant, c'est un entre deux d'un quartier avec restaurants/bars bobos et d'un quartier populaire dans lequel les gens ne veulent pas quitter leurs logements. C'est malheureux mais ces derniers seront obligé de partir par faute de moyens et de pression de la ville. Nous allons également nous ballader dans la nouvelle ville qui est aussi en chantier: D'énormes grattes-ciels poussent un peu partout comme des champignons.
On ne vient pas au Panama sans voir bien évidement la fierté du pays: Le canal. Aujourd'hui nous y consacrons toute la journée. Ce qui fait évidement le bonheur d'Alec. Tout d'abord, au programme, un petit passage à un musée que se trouve à 5 minutes de notre hotel. Celui ci décrit l'historique du canal, les conditions de vie lors de sa construction et la gestion du canal entre les Américains et les Panaméens jusqu'en 1999 ou il fut entièrement confié à ces derniers. Il faut quand même savoir que les premiers coups de pioche du canal furent entrepris par les français fin 19eme siècle. Faute de moyen, tout a été abandonné au profit de la reprise du chantier par les americains qui le terminèrent en 1914.
C'est pas le tout, il faut aller voir ce chef d'oeuvre. C'est incroyable, Raphaëlle réussit à nous faire passer par le musée d'art contemporain avant d'attraper un bus...La collection n'est vraiment pas terrible. Ca y'est on y est, à l'écluse de Miraflores! Nous avons de la chance, un énorme porte container s'apprète à rentrer dans l'écluse lors de notre arrivée. Il est guidé par 8 locomotives qui le maintiennent dans l'axe. C'est impressionant de voir le navire d'une longueur de 290m sur 30m de large se glisser dans le sas. Le prix pour passer le canal est tout aussi vertigineux: Le porte container en question a payé la petite somme de 400 000 dollars en espèces et en avance pour franchir le canal...Tout ceci au profit de l'économie panaméenne bien sur. Le pays a d'ailleur bien compris la richesse générée par l'ouvrage: Un énorme chantier est en cours pour l'élargir afin d'accueillir des bateaux encore plus grand d'ici fin 2014.
C'est pas le tout, il faut aller voir ce chef d'oeuvre. C'est incroyable, Raphaëlle réussit à nous faire passer par le musée d'art contemporain avant d'attraper un bus...La collection n'est vraiment pas terrible. Ca y'est on y est, à l'écluse de Miraflores! Nous avons de la chance, un énorme porte container s'apprète à rentrer dans l'écluse lors de notre arrivée. Il est guidé par 8 locomotives qui le maintiennent dans l'axe. C'est impressionant de voir le navire d'une longueur de 290m sur 30m de large se glisser dans le sas. Le prix pour passer le canal est tout aussi vertigineux: Le porte container en question a payé la petite somme de 400 000 dollars en espèces et en avance pour franchir le canal...Tout ceci au profit de l'économie panaméenne bien sur. Le pays a d'ailleur bien compris la richesse générée par l'ouvrage: Un énorme chantier est en cours pour l'élargir afin d'accueillir des bateaux encore plus grand d'ici fin 2014.
We land in Panama City late afternoon. No way, we're going to take a taxi to get into town, it's way too expensive. Why are airport taxis always a scam? We leave the airport by foot. It's really hot. Our jumpers are quickly packed away in our bags. The town buses are of course not indicated at the airport because the price is 60 times cheaper than a taxi. After spending a little while understanding how the fares are paid via a rechargeable smart card purchased in supermarkets, we manage to get into a brand new bus that takes us to the city centre. The local buses, Los Diablos Rojos (the red devils) are unfortunately being faded out in town. They are old american school buses (yes the yellow ones that we see in movies) that are beautifully repainted. The first thing we notice in the transports, in comparison with South America, is the vast population with caribean origins, which is logical afterall as the the caribean sea is only 80 kilometres away.
We find a hotel late in the old quarter of Panama. It just opened 10 days ago. We're very welcomed and the place is spotless. The old Panama area is a big building site that we discover the next morning. For years, it used to be a huge squat of abandoned colonial buildings. Everything is in pretty bad shape but it's amazing to see the work done to revamp the whole area. No doubt in a few years, it will the posh area of town as it was originally. For the time being it's a mix of chic restaurants and a local quarter where the inhabitants don't want to leave. It's pretty bad, they will no doubt have to vaccate due to prices increases or pressure from the town administrations. We then go and walk around the new town which is also a building site in certain places: Skyscrappers are being completed.
We don't come to Panama without seing of course the country's pride: The canal. Today, our day will be entirely devoted to it, which of course contents Alec. First of all, we head to a museum five minutes away from our hotel. It describes the canal history, the life conditions whilst building it, and its management between Americans and Panamanians until 1999 when it was entirely handed over to the latter. We must highlight that the first trenches were built by the french in the 19th century. Due to bankrupcy, everything was abandoned and the Americans successfully completed the project in 1914.
OK Enough of that, we need to go and see the masterpiece. It's amazing, Raphaëlle manages to get us to visit the contemporary art museum just before catching a bus.....The art collection isn't that great. OK, here we are at Miraflores lock! We're lucky, a container ship is about to enter the lock. It is guided by eight locomotives that line it up correctly. It is impressive to see a 290 metres long and 30 wide ship slide so smoothly into its tub. The price to pass the canal is just outrageous: The container ship had to pay 400 000 dollars cash and in advance before entering the canal....All this to the benefit of the Panamanean economy of course. The country has clearly understood the welfare from its asset: Works are on going to enlarge the canal by end 2014 so that even bigger ships can transit through.
OK Enough of that, we need to go and see the masterpiece. It's amazing, Raphaëlle manages to get us to visit the contemporary art museum just before catching a bus.....The art collection isn't that great. OK, here we are at Miraflores lock! We're lucky, a container ship is about to enter the lock. It is guided by eight locomotives that line it up correctly. It is impressive to see a 290 metres long and 30 wide ship slide so smoothly into its tub. The price to pass the canal is just outrageous: The container ship had to pay 400 000 dollars cash and in advance before entering the canal....All this to the benefit of the Panamanean economy of course. The country has clearly understood the welfare from its asset: Works are on going to enlarge the canal by end 2014 so that even bigger ships can transit through.
de bien beaux bateaux logement tout ca ;)
RépondreSupprimerdes bises de loin
Ps et flo