Non il n'y a aucun lien entre le nom de cette vile et le sucre. Quoique en observant bien, nous voyons de nombreuses enseignes d'une boisson gazeuse sucrée bien connue placardées dans toute la ville. Un de ses ingrédients le plus cultivé en Bolivie, la coca, y est effectivement bien présent. Cependant, nous pouvons nous demander si le fait d'afficher la grande marque dans la plupart des grandes villes sud americaines n'a pas des conséquences sur les populations locales qui semblent endoctrinées à boire des boissons gazeuses en lieu d'eau, d'ailleurs vendue plus chère dans les restaurants.
Sucre est l'ancienne capitale de la Bolivie, la ville dans laquelle Simon Bolivar signa le traité d'indépendance. C'est une très joli ville que nous découvrons en fin d'après midi après un voyage de 3h en car. Ses bâtiments coloniaux nous rappelle l'Europe.
Le lendemain, la tête d' Alec va nettement mieux. Nous sommes redescendus à 2700. Par contre, Raphaëlle ça ne va pas. Il faut croire que ces changements d'altitudes ne nous réussissent vraiment pas. Donc c'est repos dans notre chambre d' hôtel une bonne partie de la journée. Comme on a la télé en français: TV5 monde Amérique Latine, cela nous permet de se remettre à jour avec les infos, de voir que les campagnes législatives sont en route et de revoir des séries bien françaises telles que "Plus belle la vie...". Oulala, il est temps de sortir prendre l'air! Un poulet roti pour Alec, du riz pour Raphaëlle. Puis petite ballade vers un musée de masques traditionels, la place du 25 Mai, le marché animé et un petit concert de musique bolivienne nous occupent jusqu'au soir.
Ca y'est, nous sommes d' à plomb pour visiter correctement Sucre. Clic clac les bâtiments coloniaux c'est dans la boite, clic clac le point de vue sur la ville c'est dans la boite, clic clac le parc de la ville avec sa Tour Effeil c'est dans la boite! Nous terminons dans le musée d'art aborigène qui présentent de superbes tissus tissés à la main, des costumes traditionnels portés lors de cérémonies dans lesquelles nous retrouvons la musique assez particulère que nous avions entendu la veille: Une musique un peu cacophonique avec tambours et flutes de pans. Naaannnn, ce n'est pas du tout la musique péruvienne du métro parisien! On passe une excellente soirée à manger un bon repas chez " El Pique Picante" et à boire des verres dans un bar en discutant avec des étudiants de Sucre. Ils en disent un peu plus sur la vie boliviènne qui n'est pas aussi équilibrée que la vie Chilienne. Les lois sociales n'existent quasiment pas et l'argent provenant des richesses du pays ne semblent béneficier qu'à certaines personnes....
En compagnie de Clément et Chloé, deux françcais également pensionnaire dans notre hôtel, avec qui nous avions bien sympatisés la veille au bar, nous passons la dernière journée à flâner autour du Mercado Central, déjeunant la bas et goutant surtout à deux desserts typiques de la bolivie: La gelée multicolore type "English Jelly" (gglllouuppss) et la salade de fruit maison (mmiaaamm).
No there's no link between sugar and the name of the town (Sucre in Spanish). However, we do notice many signs of a famous sweet fizzy drink around the whole town. One of its ingredients, coca, is widely cultivated in Bolivia and is of course part of its recipee. But one wonders whether the omnipresent advitising in most South American towns that we've been through so far, does not have a consequence on the population who is endoctrinated in drinking the famous soda instead of water, which is in fact sold at a higher price in restaurants.
Sucre is the old capital of Bolivia where Simon Bolivar signed the independence treaty. It's a sweet (ha ha) town that we discover in the late aternoon after a 3 hour bus journey from Potossi. It's colonial buildings remind us of Europe.
The next day, Alec's head is much better. Altitude is back down to 2700m. However, Raphaelle is not well. It seems that these altitude swings are not good for us. So we rest in our room most of the day. As we have french TV in our room, we catch up on the news, the french elections and typical french soaps. O dear it's time to get out a little! Roast chicken for Alec and rice for Raphaelle. Then, it's a small visit to a traditional mask museum, The Plazza 25 Mayor, the animated market and a small bolivian concert that keeps busy until the evening.
The next day, we feel much better to visit Sucre properly. We click away, the colonial buildings, the scenery from the view point and the parc with its Eiffel tower! We finish off the day with the aborigen museum which presents hand made weaved clothes, traditional costumes worn during ceremonies where particular music is played. In fact, we heard the same music the previous evening. It is played with flute and drums and is a little harsh to listen to. Not quite the peruvian music that we often hear in the parisian metro! We have a great evening eating at the spicy restaurant "El Pique Picante" and have a few drinks in a bar talking to some students from Sucre. They tells us more about bolivian life which isn't as balanced as in Chili. Social laws are not as present and the money coming from the numerous natural resources only benefits specific people....
We spend our last day in company of Clément and Chloé, two french globe trotters who are also staying our hotel and with whom we had a good time at the bar the previous night. We head to the central market for lunch and we taste two bolivian typical deserts: The horrible multicolor jelly (yes just like the british one) and the delicious house made fruit salad.
Sucre est l'ancienne capitale de la Bolivie, la ville dans laquelle Simon Bolivar signa le traité d'indépendance. C'est une très joli ville que nous découvrons en fin d'après midi après un voyage de 3h en car. Ses bâtiments coloniaux nous rappelle l'Europe.
Le lendemain, la tête d' Alec va nettement mieux. Nous sommes redescendus à 2700. Par contre, Raphaëlle ça ne va pas. Il faut croire que ces changements d'altitudes ne nous réussissent vraiment pas. Donc c'est repos dans notre chambre d' hôtel une bonne partie de la journée. Comme on a la télé en français: TV5 monde Amérique Latine, cela nous permet de se remettre à jour avec les infos, de voir que les campagnes législatives sont en route et de revoir des séries bien françaises telles que "Plus belle la vie...". Oulala, il est temps de sortir prendre l'air! Un poulet roti pour Alec, du riz pour Raphaëlle. Puis petite ballade vers un musée de masques traditionels, la place du 25 Mai, le marché animé et un petit concert de musique bolivienne nous occupent jusqu'au soir.
Ca y'est, nous sommes d' à plomb pour visiter correctement Sucre. Clic clac les bâtiments coloniaux c'est dans la boite, clic clac le point de vue sur la ville c'est dans la boite, clic clac le parc de la ville avec sa Tour Effeil c'est dans la boite! Nous terminons dans le musée d'art aborigène qui présentent de superbes tissus tissés à la main, des costumes traditionnels portés lors de cérémonies dans lesquelles nous retrouvons la musique assez particulère que nous avions entendu la veille: Une musique un peu cacophonique avec tambours et flutes de pans. Naaannnn, ce n'est pas du tout la musique péruvienne du métro parisien! On passe une excellente soirée à manger un bon repas chez " El Pique Picante" et à boire des verres dans un bar en discutant avec des étudiants de Sucre. Ils en disent un peu plus sur la vie boliviènne qui n'est pas aussi équilibrée que la vie Chilienne. Les lois sociales n'existent quasiment pas et l'argent provenant des richesses du pays ne semblent béneficier qu'à certaines personnes....
En compagnie de Clément et Chloé, deux françcais également pensionnaire dans notre hôtel, avec qui nous avions bien sympatisés la veille au bar, nous passons la dernière journée à flâner autour du Mercado Central, déjeunant la bas et goutant surtout à deux desserts typiques de la bolivie: La gelée multicolore type "English Jelly" (gglllouuppss) et la salade de fruit maison (mmiaaamm).
No there's no link between sugar and the name of the town (Sucre in Spanish). However, we do notice many signs of a famous sweet fizzy drink around the whole town. One of its ingredients, coca, is widely cultivated in Bolivia and is of course part of its recipee. But one wonders whether the omnipresent advitising in most South American towns that we've been through so far, does not have a consequence on the population who is endoctrinated in drinking the famous soda instead of water, which is in fact sold at a higher price in restaurants.
Sucre is the old capital of Bolivia where Simon Bolivar signed the independence treaty. It's a sweet (ha ha) town that we discover in the late aternoon after a 3 hour bus journey from Potossi. It's colonial buildings remind us of Europe.
The next day, Alec's head is much better. Altitude is back down to 2700m. However, Raphaelle is not well. It seems that these altitude swings are not good for us. So we rest in our room most of the day. As we have french TV in our room, we catch up on the news, the french elections and typical french soaps. O dear it's time to get out a little! Roast chicken for Alec and rice for Raphaelle. Then, it's a small visit to a traditional mask museum, The Plazza 25 Mayor, the animated market and a small bolivian concert that keeps busy until the evening.
The next day, we feel much better to visit Sucre properly. We click away, the colonial buildings, the scenery from the view point and the parc with its Eiffel tower! We finish off the day with the aborigen museum which presents hand made weaved clothes, traditional costumes worn during ceremonies where particular music is played. In fact, we heard the same music the previous evening. It is played with flute and drums and is a little harsh to listen to. Not quite the peruvian music that we often hear in the parisian metro! We have a great evening eating at the spicy restaurant "El Pique Picante" and have a few drinks in a bar talking to some students from Sucre. They tells us more about bolivian life which isn't as balanced as in Chili. Social laws are not as present and the money coming from the numerous natural resources only benefits specific people....
We spend our last day in company of Clément and Chloé, two french globe trotters who are also staying our hotel and with whom we had a good time at the bar the previous night. We head to the central market for lunch and we taste two bolivian typical deserts: The horrible multicolor jelly (yes just like the british one) and the delicious house made fruit salad.
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