jeudi 28 juin 2012

Lima: Le come back.

De retour de l' île de Pâques, nous restons dans un petit hôtel bien sympa conseillé par Julie, une ex-collègue d'Alec. L'endroit est surprenant, rempli de fausses statues en plâtre, de tableaux qui ne valent rien et des miroirs dorés (rien que dans notre chambre, nous en avons deux remplissant deux des murs de la pièce). Ce qui est encore plus drôle, c'est le balcon sur lequel on prend notre petit déjeuner accompagné de paons, perroquets et tortues qui se balladent en toute liberté. D'ailleur Alec prendra une douche en compagnie d'une tortue qui finissait sa nuit dans la salle de bain.
Puisque nous avons déjà visité la ville, nous en profitons pour nous reposer un peu, organiser la suite du voyage en achetant des billets pour faire route vers le nord car il faut bientot rejoindre l'Equateur. On passe par hasard devant un musée d'art contemporain qui est bien meilleur que le Mali (voir précedent article sur Lima). Le soir, nous allons à l'école des beaux arts où se déroule le vernissage d'une expo de caricatures sur la censure de l'information. Cette dernière est organisée en collaboration avec l'école des Gobelins de Paris. A notre grande surprise, lors des discours de remerciements, Monsieur Plantu (oui, oui c'est bien la personne dont on a l'habitude de voir les caricatures dans Le Monde) vient à son tour dire quelques mots. Nous oserons même aller lui parler après. Il est super sympa et nous présente à Bonil, un des ses amis de Quito lui aussi caricaturiste dans un des quotidiens Equatorien. Nous sommes invités chez lui dans deux semaines! Ce n'est pas une blagues, nous avons des preuves avec une photo et un autographe à l'appui!
Back from Easter Island, we stay in a cool hotel recommended by Julie, one of Alec's ex colleagues. The place is fun, filled with fake plaster statues, worthless paintings and golden mirrors scattered around the whole place (our room has 2 the full size of the walls). What's even more fun, is the presence of peacocks, parrots and tortoises on the terrace where breakfast is served. Alec will also take his shower accompanied by a tortoise finishing off his night in the bathroom!
We have already visisted Lima so we rest a little and organise ourselves for our onwards journey. We need to get to Ecuador fairly soon so we buy a couple of bus tickets to head up further north of Peru. We pass buy by a contemporary art musueum which is much better than the Mali musueum (see previous article on Lima). In the evening, we go to the arts school where there a viewing of a caricatural exhibition on news censorship is taking place. During the thanking speeches, we're surprised to see Monsieur Plantu, a famous french caricaturist who publishes daily his drawings in the french paper Le Monde. We go and have a chat with him. He's a very friendly person and introduces us to Bonil, one of his friends from Quito who is also a caricaturist for an Ecuadorian periodical. We're invited to h is place in two weeks! It's not a joke, we have proofs with a photo and an autograph!

Rapa Nui ou l'ile de Pâques

Rapa Nui est le nom préféré donné par les locaux polynésiens qui habitent l' île. Dès notre arrivée, nous ressentons une ambiance qui nous rappelle Tahiti, visité il y'a 3 ans. Et oui, nous ne sommes qu'à 4 heures d'avion de la France! Nous n'avons pas réserver d'hôtel et tentons dès la douane passée de nous faire aiguiller par des locaux. Nous abordons Oscar qui propose une chambre dans sa maison d'hôtes. Il est polynésien et parle couramment le français puisqu'il a habité quelques années à Tahiti. Il est 6h du matin et n'ayant dormi que 2 heures dans l'avion, nous nous écroulons pour 3 heures de sommeil supplémentaires.


Oscar nous accueille très chaleureusement. Après notre court somme, un super petit déjeuner nous attend avec tartine, oeufs, et jus de fruit local. Il nous explique les sites à voir sur l'ile et nous donne une carte. Pas une minute à perdre, il faut aller voir les fameux Moaïs, la chasse au trésor est ouverte! Nous allons nous balader sur un site tout prêt de la piste d'atterrissage. Ici, c'est un avion par jour et puisque nous avons atterit avec celui d'aujourd'hui, on devrait être tranquille. On arrive sur le site et nous avons du mal à localiser ce que nous devons voir...."Mais c'est un tas de pierres?". En regardant bien, nous distingons une tête de Moaï couchée. C'est un peu décevant quand même! Direction la ville pour voir d'autres sites. Deuxième rencontres avec les moaïs, c'est nettement mieux, ils sont debouts!


Les Moaï c'est le grand mystère de l'île. Personne ne connait exactement leur origine ni pourquoi ni comment ils ont été sculptés. En tout cas c'est impressionant comment ces blocs de pierre de plusieurs tonnes ont été positionné de façon strategique tout autour de l'île. Etait ce dans le but de la protéger? Pour notre premier soir nous n'allons pas faire de folie car la fatigue de la nuit blanche précédente nous rattrape. Nous pouvons profiter de la cuisine de notre hôte tout en goutant la bière locale, la Mahina, qui est d'ailleur meilleure que la Hinano, bière locale de Tahiti.

Deuxième jour, c'est journée vélo. On enfourche les engins et on part faire le "petit tour de l'île". Ca monte et ça monte......Mais qu'est ce que ça monte. Le premier point de vue est sympa. Domage qu'il commence à pleuvoir. C'est la saison des pluies donc il y'a des averses mais ce n'est que de courte durée heureusement pour nous. De toute façon, il est midi et il faut reprendre des forces. En route pour la suite, Raphaëlle s'exclame: "j'ai creuvé!", "quoi t'es creuvée?", "naaannn, le pneu arrière est creuvé". Il faut prendre une décision: soit faire demi tour, 3h à pied pour rentrer mais ne rien voir d'autre, soit finir la boucle en 5h approximativement. Nous sommes "en mode" aventureux, donc nous allons continuer tout en espérant rentrer avant la nuit. Nous voyons un site de Moaï tous alignés sur leur ahu, pateforme cérémoniale, et deux sites sur lesquels se trouvent des cavernes avec galeries interminables. La deuxième requiert presque des compétences de spéléologue: Il faut se faufiler à travers un trou à peine plus large que soi, continuer dans une galerie noire (heureusement que nous avons nos lampes frontales), puis on débouche dans un espace au bout duquel se trouve deux grandes ouvertures sur l' Océan Pacifique. C'est sublime. Nous arrivons en ville alors que la nuit tombe et que les lampadaires s'allument.
Troisième jour, c'est journée voiture. Après avoir fait le tour des agences nous trouvons un 4x4 du meilleur rapport qualité prix, tout boueux et avec impossibilité de fermer les fenêtres. C'est parti pour faire le "grand tour de l' île". Nous voulons voir tout les Moaï donc il nous faut faire des haltes environ tout les kilomètres. Sur la plupart des plateformes, les statues sont couchées. Ceci est apparement dû aux guerres tribales ou à des tremblements de terre. Beaucoup de sites ne sont plus que des gros amas de pierres dans lesquels nous retrouvons les statues éparpillées, décapitées. Heureusement les quelques uns restaurés sont impressionants et permettent de bien imaginés à quoi pouvait ressembler les autres.
Quatrième jour, après journée vélo, journée voiture, c'est journée cheval. La ballade est prévue le matin mais c'est la grosse averse. C'est repoussé à l'après midi. Il fait nettement plus beau et nous partons à travers champs accompagnés d'une guide et de deux basques espagnols de San Sebastian. Manou, le cheval d' Alec est le plus docile. En fait, il n'avance pas et préfére brouter. C'est la guide qui le motive en lui donnant des petites tapes dans le derrière. Uia, le cheval de Raphaëlle mène le groupe jusqu'au sommet le plus haut de l'île où nous faisons une pause. Un des basques avait la bonne idée d'enmener une bière (nous sommes jaloux), tandis que nos chevaux broutent l'herbe fraiche du point culminant à 500m. La ballade dure plus de 3 heures pendant lesquelles nous profitons pleinement des paysages de l'ile. Le soir nous nous régalons d'un énorme ceviche en bord de mer.
C'est déja le dernier jour. Il fait un temps de chien. Nous affrontons la tempête pour quelques dernières photos et un snack typiquement chilien qui nous avait manqué depuis Santiago: Le Hot Dog Italiano: Vert pour l'avocat, blanc pour la mayo et rouge pour les tomates. Ce n'est toujours pas très bon! Mais qu'est ce qu'on a adoré cette petite île coupée du monde.
Rapa Nui is the preferred name for the polynesian locals who live on the island. It reminds us of Tahiti that we visited 3 hours ago. We're only 4 hours away from France! We haven't reserved any hotel et we approach some locals after the cutoms office. We speak to Oscar who proposes us a room in his hostal. He is polynesian and speaks french fluently as he lived in Tahiti for a few years. It's 6am and having only slept a couple of hours, we crash for 3 extra hours.
Oscar welcomes us warmly. After our quick nap, a superb breakfasts awaits us with toast, eggs and local fruit juice. He explains us the sites to see and gives us a map to tour around the island. There's not a second to loose, we must go and see the famous Moaï. The treasure hunts begins! We go for a walk near the airport runway. There's only one plane a day and as we were on it, it should be peacefull. We arrive at the site and we have difficulties in finding them..... "It's just a pile of rocks?". Looking more in depth, we find a Moaï head lying down. It's a little disappointing! We head to the town where there should be more. Indeed, it's much better, they're all standing up!<
The Moaï are the biggerst mistery of the island. Nobody knows exactly their origin, neither why and how they were sculptured. It is impressive how these stone blocks of several tons have been positionned stategically around the island. Was it a kind of protection? For our first evening, we're going to be reasonable because the lack of sleep from the previous night is catching up on us. We make advantage of the kitchen of our host that we can use, whilst drinking a local beer, the Mahina.
Second day, it's bike day today. We go for the "small island tour". It climbs, it climbs..... ppffewww, it continuously climbs. The first view point is pretty good. It's ashame that it starts raining. It's the rainy season so there are frequent short showers. It's midday anyway so best to get back some strengths with our picnic. Off we go again, Raphaëlle shouts: "I have a puncture". We need to make a decision. Either we head back by foot in about 3 hours, either we continue the loop in approximately 5 hours. As we are adventurous, we go for decision number 2, hoping that we'll get back into town before night time. We see a Moaï site aligned on there ahu, a ceremonial platform, and two other sites where infinite galeries run underground. The second one requires speleologist skills: we need to crawl through a hole not wider then ourselves, walk along a pitch black galery (luckily we have our torch lights), and we end up in an area where there two large windows facing the pacific. It's superb. We get back into town and the streets lights light up.
Third day, it is car day today. After having bechmarked all the agents, we find a good deal on a 4x4 which is all muddy and windows that don't close. Off we go to the "big island tour". We want to see all the Moaï so we have to stop every kilometer. On top of most platforms, the statues have tilted over. This was apparently due to tribal wars or earthquakes. Many sites are just a pile of rocks where we find the statues scattered around and decapitated. Luckily the ones restored are impressive and enable us to imagine how the others looked like.
Fourth day, after bike day, car day, it's horse day. The tour is planned for the morning but it's pouring down. We reschedule for the afternoon. It's much better and we trot accross fields with our guide and a couple of spanish basques from San Sebastian. Manou, Alec's horse is lazy. He doesn't move and prefers to grab a good turf of grass. The guide motivates him by gently taping him on its bottom. Uia, Raphaëlle's horse, leads the group up the highest point of the island where we pause. One of the basques had the great idea to bring a beer (we're jealous), whilst our horses crunch away the fresh grass of the summit at 500 meters. The tour lasts more than 3 hours where we enjoy the island scenery. In the evening, we treat ourselves to a huge ceviche on the seafront.
It's already our last day. It's really bad weather. We confront the gale to take some last pictures and have a typical chilean snack which we've missed so much since Santiago: The Italiano Hot Dog: Green for the advocado, white for the mayonaise and red for the tomatoes. It's still pretty horrid! We however enjoyed so much staying on this so remote part of the world.

samedi 23 juin 2012

Quizz numéro 3

Puisqu'il semblerait que ce quizz soit plus dur que les précedents, voici le même objet pris sous un autre angle.


Le voici, le voilà, le tant attendu quizz numéro 3. Here it is, the so wanted quizz number 3.

Quel est cet objet?
What is this object?


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jeudi 21 juin 2012

Lima

Nous voici déjà dans la capitale Péruvienne. Nos sacs sont abandonnés dans un hostal de backpackers pour aller explorer le centre de Lima doté de ses nombreux bâtiments coloniaux et églises de couleurs variées. La place d'Arme avec le palais présidentiel est bondé de monde car c'est dimanche. Nous goûtons une des specialités des étals: la crème caramel maison. Un vrai délice qui nous rappelle un peu la France. Puis, nous partons à la recherche d'un appareil photo car celui d' Alec ne fonctionne plus. Ces petits gadgets ne sont vraiment pas fiables (il n'a que 2 ans). De plus, ils ne sont vraiment pas donné au Chili. Alec a tenté de le démonter une fois pour essayer de le refaire partir, sans succès.
Peut être que les prix seront plus abordables dans le quartier chinois que nous allons voir le lendemain matin. Hélàs une fois sur place, aucun magasin d'électronique n'est en vue. Tant pis, la dernière tentative sera dans le "CyberPlaza", un énorme centre commercial consacré à l'électronique. Des centaines de boutiques proposent des services de réparation et ventes d'ordinateur mais aucun appareil photo numérique n'est visible dans les vitrines. Nous rentrons donc sagement à notre hostal. Raphaëlle s' effondre pour une sieste tandis qu' Alec ne s'avoue pas vaincu: Il redémonte l'appareil jusqu'au dernier engrenage dans l'objectif. Houuuurrraa, ça y'est la panne est identifiée et tout refonctionne à nouveau. Nous fêtons cela avec un bon dîner composé de ceviche (une autre délicieuse spécialité du pérou) et de calamar frit.
Le troisième jour, c'est départ en avion pour l' île de Pâques. En attendant, nous allons voir le musée d'art de Lima: Le Mali. "Zy va Rapha, c'est du verlant le zéemu d'art de Mali". La moité du musée est en travaux et les quelques expos présentées sont plutôt décevantes et manque cruellement d'explication. Comme il fait beau,on ressort direction le quartier de Miraflores où se trouve la plage, et la plupart des touristes d'ailleurs. Notre mission, trouver un restaurant avec retransmission de l' Euro 2012. Aujourd'hui, c'est France - Suède. Nous en dénichons un dans la rue la plus touristiques de Lima et prenons un déjeuner footeux: Pizza - Pichet de Cerveza. Nous repartons déçu de la défaite francaise.

Pour ne pas prendre de risques inutiles vis à vis de notre sécurité, nous partons en taxi du centre de Lima avant la tombé de la nuit, même s'il faut attendre 6 heures à l'aéroport notre avion qui est à 1.30 du matin.
We're already in the peruvian capital city. We rapidily drop off our bags in a backpacker's hotel to go and explore the centre of Lima with its numerous colonial buildings and colourfull churches. The Arms Plaza with the presidential palace is crouded because it's sunday. We try one of the stall specialities: The crème caramel of the house. A real treat that reminds us of France. Then, we go on a hunt for a digital camera as Alec's one is busted. These gadgets a really not reliable (it is only 2 years old). There aren't cheap in Chili either. Alec didn't succeed in fixing it despite dismantle it.
Maybe the prices are more affordable in the chineese quarter where we head to the next morning. Unfortunately, there isn't one electronical shop in sight. The last chance is the "CyberPlaza", a huge shopiing centre dedicated to computers. Hundreds of shops propose services to sell and fix PCs but there are no cameras. We slowly head back to our hotel. Raphaelle has a siesta and Alec does not give up: He takes his camera to parts. The last cog in the lens is dismantled. Houurrayyy, the problem is identified and everything works again. We celebrate this by eating a ceviche (another delicious speciality of Peru) and fried squid.
Today, on our third day, we have a flight for Easter Island in the evening. Meanwhile, we go and see the art museum of Lima. Half of the museum is under renovation and the few exhibitions are disapointing. As it is a noce day, we get out and go to the quarter of Miraflores where there's the beach and most of the tourists. Our mission is to find a restaurant with the Euro cup on: France - Sweden is on. We find one in the most touristic street of Lima and have a footy lunch: Pizza with a jug of beer. We leave disapointed by the french defeat.
To not take any risks to get to the airport we take a taxi from the centre of Lima before night time, even if we have to wait 6 hours at the airport for our flight at 1.30 in the morning.

mardi 19 juin 2012

Pisco et les iles Ballestas

Ca y'est fini pour l'instant les hauteurs de la Cordillère des Andes. Nous sommes redescendus en 18 heures de bus de nuit vers Pisco, au bord de la mer. Sauf que notre bus ne s'est pas arrêté vers Pisco, il a continué tranquillement vers Lima..... Après avoir vu des panneaux indiquant Pisco dans l'autre sens, Alec va voir l'assistant du car qui s'était complétement endormi. Ce dernier appel le chauffeur à l'aide d'un interphone et le bus freine brusquement. Nous descendons et traversons la route pour reprendre un autre bus de la même compagnie dans le sens inverse qui va nous déposer à un croisement où il nous faudra prendre un taxi pour rejoindre la ville.


Pisco n'a rien d'exceptionnel malgré son nom qui porte celui de la liqueur de Pisco dont nous avions visité une distillerie à la Serena (voir la Serena, Chili). D'ailleurs les péruviens et les chiliens revendiquent chacun l'origine de la boisson qui proviendrait sans doute davantage du Chili que du Pérou. Mais qui sait...? La ville de Pisco a été détruite à 80% par un tremblement de terre en 2007 qui semble encore marqué les esprits car tout le monde en parle. La catédrale s'est entièrement effondrée pour laisser place à une monstruosité en briques rouges. A coté, un autre batiment administratif tient toujours bien que très menaçant. La ville n'est pas très rassurante et nous préférons être sous nos gardes surtout lorque la nuit tombe, calfeutrés derrière les barreaux de notre confortable hostal: On a la télé: "Allez la France, 2-0 contre l' Ukraine pour la coupe Euro 2012 -ouuuaiss", internet et une cusine pour préparer notre diner assez oringinal: El pasta à la bolognesi!

Le lendemain matin, c'est rêveil de bonheur car un tour opérateur vient nous chercher à l'hôtel à 7h (nous avions réserver la veille). Nous allons aux iles Ballestas, surnomées Galapagos pour les pauvres. Pourquoi payer plus quand c'est possible de voir la même chose ailleurs à un prix plus raisonable? Un bateau surmotorisé nous propulse jusqu'aux iles sur lesquelles se trouve des millions d'oiseaux dont plus de 250 espèces. Les formations rocheuses en cavernes sont un refuge idéal pour la nidification. Mais attention aux fientes lorsque le bateau s'y approche....d'ailleurs quelques touristes dans notre bateau se font mitrailler! Nous sommes contents car nous voyons enfin nos premiers manchots, des dauphins et des lions de mer en voie d'extinction apparement.
A notre retour un curieux chandelier (le Chandelier de Paracas) d'une hauteur de 200m, dont l'origine est vague, "Mais non Raphaëlle, c'est pas des martiens", apparait sur le flanc d'une dune de sable. Bizare.
Ensuite, une ballade dans le parc national de Paracas nous fait comprendre l'importance de préserver le site qui est critique pour la reproduction de certaines espèces migratrices aériennes ou marines. On s'attend à voir un parc avec une intense végétation... C'est le désert total, pas un arbre, que du sable. Mais tout cela est sous protection. L' érosion de la côte est importante avec des plages au sable de couleurs atypique comme cellede sable rouge.
The Andian Cordillera is over for the moment. A bus takes us back down to Pisco at sea level in 18 hours. Except that our bus doesn't stop at Pisco and is slowing heading to Lima. Alec sees a few signs in the opposite direction saying Pisco so he goes to see the bus assistant who had fallen asleep. He calls the driver via an interphone and suddenly the bus brakes like lmad to a halt. We get off and cross the road to catch another one in the opposite direction from the same company. It drops us at an intesection where we cactch a taxi into town.
Nothing exceptional at Pisco despite the name of the place that holds the one of the liquor of which we had visited the distillery in La Serena (see la Serena). In fact the peruvians and Chileans fight over the drink's origin, which apparently would come more from Perou than Chili. Who knows...? The town of Pisco was destroyed at 80% by an earth quake in 2007. People still talk about it. The cathedral collapsed and a red brick monstruosity has been rebuilt in its place. Next to it, an administrative building threatens to fall down. The town is not very reassuring and we prefer hiding behind the metal grids of our hostal which is comfortable: We have a TV: "Go on France, 2-0 against Ukraine in the Euro 2012 - yeeahhh", internet and a kitchen to cook our very orginal meal: El Pasta a la bolognesi!

The next morning, it's an early wake up call as our tour operator is fetching us at our hotel (we had booked a tour the previous day). We're going to the Ballestas Islands, nicknamed Galapagos for the poor. Why pay more when it's feasable to see the same thing elsewhere at a more reasonable price? An overmotorised boat shoots us accross the sea to the islands where millions of birds, 250 species, are nesting. The cave rock formations are ideal for reproduction. But we need to watch out for birds droppings when the boat gets nearer.....some tourists on our boats get machine guned! We're happy because at long last we see our first pelicans, some dolphins and sea lions that are apparently species in extinction.
On our way back, a curious candle holder (candlestick holder of Paracas) of a hight of 200m, which origin is vague, "no Raphaëlle, it's not martians", appears on slope of some dunes. Very strange....
Then, the tour takes us into the national parc of Paracas where we understand the importance of preserving the site necessary for the reproduction of the aerial and marine species migrating. We expected to see dense vegetation in the parc: Nothing at all, total desert, not a tree in sight, only sand. The coastal erosion is important with it's beaches with a surprising red sand colour.

dimanche 17 juin 2012

Maras et Moray

C'est reparti pour un autre tour organisé de deux sites. Cette fois ci le guide est archi nul. Il tente de mettre de l'animation en posant des devinettes qui n'ont aucun sens, surtout lorsqu'il tente de les traduire en anglais. De plus, il nous surnomme le groupe "Inti" (Soleil en Quechua) et le fait qu'il répètent dans chacune de ses phrases "Alors groupe Inti", cela devient vite agaçant. Première halte à Chinchero où nous nous arrêtons pour assister à une démonstration de préparation de laine d'alpaca. Un déjà vu de la journée précédente? C'est alors que nous comprenons que nous étions tellement en retard sur le programme le jour précédent que la guide n'as même pas pris le temps de nous enmener à la citadelle qu'il fallait voir à Chinchero et a préféré nous déposer à la démonstration artisanale. Nous sommes furieux mais par politesse nous assistons encore une fois au spectacle en passant bien évidement par la case boutique.....


Bref, en route pour Moray, notre première halte officielle du tour. Notre guide archi nul nous donne une brève explication sur le site qui était un lieux ou les incas faisaient des experiences agricoles afin de comprendre quelles variétés de légumes pouvaient être cultivés de façon optimale dans la région. La forme du site est intéressante et a sans doute un but précis, malheureusement celui ci reste inexpliqué par notre guide qui ne pense qu'a dire "Alors groupe Inti".

Notre deuxième halte est ce fait Maras, où coule une source d'eau salée. Toute une succession de bassins permet de faire évaporer le sel qui est apparement exporté dans le monde entier. Nous ne ferons aucun commentaire sur les explications de notre guide.... "Alors groupe Inti". En effet "il y a trois couleurs de sels, un pour les riches, un pour les pauvres et un pour les animaux"..."Euh ouai d'accord mais comment ça se fait qu'il y ait trois couleurs? " "Aucune idée groupe Inti." "Merci pour la visite guidée!"

De retour à Cusco, c'est de nouveau la fête. Mais ils bossent quand les péruviens? Des chars défilent sur la plaza des armes tandis qu'une spécialité culinaire nous attends sur la plaza San Francisco: du poulet avec cochons d'inde accompagné de mais souflé, fromage, algues et une sorte de cake aux herbes de provences. Une vraie horreur que nous avons du mal à avaler!
We're off on another set tour for two sites. This time the guide is useless. He tries to animate the tour by setting quizzes that don'tmake sense, especially when he attemps to translate them into english. He also nicknames the group "Inti"(Sun in Quechua) and the fact that he repeats in each of his sentences "So group Inti", it becomes rapidily irritating.
First stop at Chinchero where we get a presentation on how wool is prepared for weaving. A déjà-vu from the previous day? We then understand that we were so late on our previous day timling that the guide didn't even bother showing us the citadel that we should have visited in Chinchero and preferred to drop us at the artisanal show. We're furious but being polite we do follow the show that of course ends up with a tour to the stalls.....
Anyway, we're off to Moray, the first stop on our official tour. Our crap guide gives us a very brief explanation on the site which was used by the incas to make experiments on crop planting in order to understand which variety could be optimized in the the region. The shape of the site is also interesting but unfortunately cannot be interepreted by our guide who only can say "So group Inti".

Our second stop is at Maras, where a salt water spring comes originates from the mountains. A succession of pools enable to cultivate the salt which is exported in the entore world. We will not comment the comments from our guide...."So group Inti". There ar indeed "three salt colours, one for the rich, one for the poor and one for animals"..."OK but why are there different colours?" " no idea group Inti." "Thank you for your attention"

Back in Cusco, it's again la fiesta. But when do the peruvians work? Processions are on the plaza of Arms, whilst a speciality is awaiting us on the plaza San Fracisco: Chicken with guinee pig served with puffed corn, cheese, algui and a herbs cake. An atrocity that we pain to swallow!

La Vallée Sacrée

Avant de repartir en excursion, car d'autres sites incas sont à voir dans la région, nous profitons de Cusco pendant une journée même s'il faut faire le tour des agences pour réserver un tour pour nos deux prochains jours. C'est jour de fête à Cusco. C'est au tour des bambins de défiler dans la rue. Trop choux! Par hasard, nous retrouvons un couple de suisse avec lequel nous avions passer quelques jours dans le salar de Uyuni (la mer de sel) et à Potossi. Rendez-vous est pris pour diner. Nous passons un excellente soirée et Raphaelle s'est même lancé à tester la spécialité du coin: Le cochon d' inde roti. Ami des bêtes bonsoir.

Le lendemain matin, c'est parti pour un tour organisé dans la vallée sacré. Au programme, visite de 5 endroits. Premier stop, marché artisanal pour touriste. Ca commence bien.... C'est nul et nous passons plus de temps à regarder notre chauffeur changé une des roues de notre bus et des alpaca tout poilus qu'à parcourrir les petites boutiques toutes semblables.
Deuxième arrêt, Pisac, un site archéologique incas. C'est mieux. La guide nous fait une présentation en anglais juste pour nous deux puisque les autres du groupes parlent tous espagnol. Ce qui nous arrange car nous avons davantages de temps pour explorer le site par nous même ensuite.

Troisième arrêt, pause déjeuner en nous amenant à un restaurant sans doute choisi à l'aide d'une comission. Comme nous n'avions pas pris l'option déjeuner dans notre tour nous partons en chercher un autre nettement plus abordable bien qu'on essaye de nous retenir dans le premier. Nous nous retrouvons au calme dans un petit jardin et testons l'une des boissons locales non alcolisé: le Inca Cola, qu'on ne recommande pas! Le reste du groupe se fait attendre donc nous patientons à regarder les tuk-tuks péruviens version "tunning".

Quatrième arrêt, Ollantaytambo, une ancienne citée Inca comme le Macchu Pichu mais qui n'a pas été fini à cause de l'arrivée des espagnols. C'est un site très intéressant mais nous avons l'impression de cavaler un peu car nous sommes en retard sur le programme. Le problème des tours, c'est qu'il y'a un groupe et que ça traine en debut de journée, notament ce coup ci à cause d'un couple de retraités qui achètent n'importe quelle bricole qu'il trouve en chemin, du coup on speede à la fin.
Cinquème arrêt, Chinchero, un village colon dans lequel nous assistons à une démonstration faite pas les locaux sur les techniques de préparation de laine d'alpaca (petit lama) pour le tissage des napes, habits etc... Nous sommes fascinés par les méthodes de teinte naturelles afin d'obtenir les differentes couleurs, bleu, rouge, violet, vert.... de la laine. Le rouge est notammant obtenue grâce à de petits insectes qui vivent sur les cactus. Après la présentation, c'est bien sur le passage à la boutique artisanale. Les familles sont très chaleureuses et nous font essayer leurs costumes.

Before leaving on other excursions to other inca sites that exist in the region, we make the most out of Cusco during one day even if we need to benchmark the agents to book a tour for our next two days. It's festival time in Cusco. This time it's the younger ones that are marching in the street. Very cute! By pure coincidence, we meet up with a swiss couple that we had met in the salar de Uyuni (the salt sea) and at Potossi. We arrange diner together. We spend an excellent evening and Raphaelle even tested the local speciality: Roasted Guinee Pig. Good evening to all animal lovers


The next day, we're ready for an orgnaised tour to the sacred valley. The program is to vist 5 sites. First stop, an artisanal market for tourists. Well not really a good start.....It's dreadful and we spend more time watching our bus driver changing the wheel of our bus and hairy alpacas instead of walking along the stalls selling similar junk.
Second stop, Pisac, an archeological inca site. It's better. We have a one to one english presentation from our guide as all the others from the group are spanish. This suits us as we then have more time to explore the site while she does her spanish speech.
Third stop, lunch break. We're taken to a restaurant where a comission has probably been arranged. We didn't take the lunch option in our tour so we hunt for a cheaper and less touristic one despite that they are trying to hold us back in the first one. We end up in a little garden and we try the local soft drink: The Inca Cola that we don't recommend! The rest of the group is a little late so we watch passing by the pervuvian tuk-tuks which have a sporty look.
Fourth stop, Ollantaytambo, an old Inca city like machu pichu which was not completed due to the spanish invasion. It's an interesting site but we have the impression that we're pressed by time because we're late on the timing. This is the problem with an organised tour, there's a group and it was slow at the start of the day, especially due to a retired couple who buys any touristic gadget on route.
Fith stop, Cinchero, a colonial village where we see a presentation on technics to prepare the wool for weaving of clothes, table sets etc... We're fascinated by the means of tinting naturally the wool to obtain different colours. The red is obtained by samll insects that live on cacti. After the presentation, we're of course directed to the artisanal section to purchase some items. The family is very welcoming and we even try their costumes.